Les hard skills servent à faire ce qui est prévu, les soft skills à affronter l’imprévisible, nous explique Michel Barabel, enseignant et chercheur spécialisé dans la formation et l’innovation managériale.
Le système de formation est victime du succès de la réforme de 2018 : le CPF et l’apprentissage décollent. Problème : la contribution des entreprises est très insuffisante pour les financer.
Les aides à l’embauche en contrat d’apprentissage et de professionnalisation créés à l’été 2020 sont prolongées jusque fin 2022. L’occasion de faire le point sur les chiffres et les dispositifs pour les jeunes et les demandeurs d’emploi.
Comment se porte le marché de l’externalisation de la formation ? Difficile à savoir: les seuls chiffres récents sont américains. Mais la comparaison est instructive.
Les métavers abritent-ils les salles de formation de demain, et préparent-ils la nouvelle génération de solution e-learning interactives ? Pas encore à grande échelle, mais le marché se prépare.
Pourquoi la France est-elle championne d’Europe de burn-out et d’absentéisme ? Pour l’auteur des « 10 commandements de la bienveillance en entreprise », la réponse passe par la formation des managers.
Les soft skills ont fait l’objet d’au moins deux baromètres (WeSuggest et CSP-Docendi) et d’un rapport de France Stratégie depuis le début 2022. Principaux enseignements pour l’entreprise et le responsable formation.
La réforme de 2018 a simplifié et rationalisé la taxe d’apprentissage, en l’intégrant (avec la contribution formation) à la DSN. A compter du 1er juin 2022, le nouveau système est entièrement en place.
Le système français de formation professionnelle souffre de trop de réforme et pas assez de financement, selon Didier Cozin, dirigeant d’un organisme de formation et expert reconnu du secteur.
La validation des acquis de l’expérience (VAE) fête ses 20 ans en 2022, dans une atmosphère de crise. Un rapport initié en 2019 apporte des propositions innovantes pour créer une VAE tout au long de la vie.